Ingrédients arômes et parfums : les chiffres clés de l’excellence aromatique française
Le SNIAA et PRODAROM vous dévoilent en exclusivité leurs chiffres clés :
Il existe différents types d’arômes alimentaires dont les dénominations sont listées et encadrées par le Règlement (CE) n°1334/2008.
Tout arôme doit être déclaré dans la liste des ingrédients de l’aliment dans lequel il a été incorporé.
Rappelons l’esprit du Règlement (CE) n°1334/2008 et son considérant 26 : « La source des arômes devrait être déclarée dans leur désignation, sur l’étiquette »… « excepté lorsque le matériau de base ne peut pas être reconnu dans l’arôme ou le goût de la denrée alimentaire ».
Quelles sont alors les dénominations possibles ?
Dans quelques cas précis, l’arôme peut avoir une dénomination plus spécifique : huile essentielle, extrait, etc.
Exemples : arôme naturel de poire, arôme naturel de poulet, arôme naturel de poisson, arôme naturel de violette, huile essentielle de citron, extrait de fraise
Exemple : arôme naturel de citron avec autres arômes naturels, arôme naturel de bœuf avec autres arômes naturels
Exemples : un mélange d’huile essentielle de citron et de menthol crée un arôme naturel conférant une note verveine aux aliments, un extrait d’Osmanthus confère une note abricot, etc.
A noter : Lorsque le consommateur perçoit un goût fumé à l’aliment et que cette note provient d’un arôme de fumée, alors la liste des ingrédients doit obligatoirement mentionner « arôme de fumée » en précisant éventuellement le bois qui a été utilisé (bois de hêtre par exemple).
Pour en savoir plus : consultez notre infographie dédiée